Dans les années cinquante, dans une grande demeure bourgeoise en pleine campagne, les gens sont sur le point de fêter Noël. Mais un drame se produit : le maître de maison est retrouvé assassiné. Le ou plutôt la coupable se cache parmi huit femmes que fréquentait régulièrement la victime. Commence alors une longue journée d'enquête, faite de disputes, de trahisons et de révélations.
2003
César : Nommé pour le César du Meilleur film français de l'année
Nommé pour le César du Meilleur réalisateur
Nommé pour le César de la Meilleure actrice (Isabelle Huppert, Fanny Ardant)
Nommé pour le César de la Meilleure actrice dans un second rôle (Danielle Darieux)
Nommé pour le César du Meilleur jeune espoir féminin (Ludivine Sagnier)
Nommé pour le César du Meilleur scénario original ou adaptation
Nommé pour le César de la Meilleure musique écrite pour un film
Nommé pour le César de la Meilleure photographie
Nommé pour le César du Meilleur son
Nommé pour le César des Meilleurs costumes
Nommé pour le César des Meilleurs décors
2002
Festival International du Film de Berlin (Berlinale) : Ours d'Argent de la meilleure contribution artistique
Nommé pour l'Ours d'Or
Faute d'être plus intelligent que le film, il ne reste donc qu'à l'admirer, chose faite dès le générique. Tel les bons restaurants, où il suffit de humer une fois la porte passée pour savoir qu'on va se régaler alors que rien n'a encore rejoint l'assiette, 8 Femmes impose d'emblée sa perfection. L'Humanité
On est à cent lieues du réalisme, de la vraisemblance, du naturel. Ozon joue sur la volupté de l'artifice, quand il lui échappe, précisément, quand l'artifice devient une sorte d'art. Entre kitsch et nostalgie. De la rigueur rigolote (mais il en faut, de la rigueur, pour être rigolo). Télérama
Un bonheur de spectateur. Avec verve et finesse, 8 femmes suscite rire et émotion, d'une qualité inhabituelle dans le cinéma contemporain. Le Monde
(...) pour ce qui est des stars, Huit Femmes affiche complet. Pour autant, Ozon ne fait pas dans la mise en plis. Au contraire ! Sans trop ébouriffer les yeux avec sa réalisation, il décoiffe les mythes et dépoussière les esprits (...). Le Parisien
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