Espagne, 1937. Pendant que la Guerre Civile espagnole fait rage, un cirque ambulant tente de survivre. Pendant cette période tragique, deux clowns vont s'affronter jusqu'à la mort par amour pour une belle acrobate.
2011
Goya : Goya du meilleur maquillage et coiffure
Goya des meilleurs effets visuels
Nommé pour le Goya du meilleur film
Nommé pour le Goya de la Meilleure actrice dans un second rôle (Terele Pavez)
Nommé pour le Goya du meilleur réalisateur
Nommé pour le Goya du meilleur acteur (Antonio de la Torre)
Nommé pour le Goya de la meilleure révélation féminine (Carolina Bang)
Nommé pour le Goya du meilleur scénario original
Nommé pour le Goya de la meilleure musique originale
Nommé pour le Goya de la meilleure photographie
Nommé pour le Goya du meilleur son
Nommé pour le Goya des meilleurs costumes
Nommé pour le Goya du meilleur montage
Nommé pour le Goya des meilleurs décors
Festival International du Film de San Sebastian : Nommé dans la catégorie Made in Spain
2010
Mostra de Venise : Nommé pour le Lion d'or
Nommé pour le Grand Prix du Jury
Imaginez que les démons qui hantaient Goya se jettent sur Sam Raimi et vous aurez une idée de la grandeur grotesque et kitsch de "Balada triste". Le finale doit un peu à Hitchcock et pas mal à Gaston Leroux. Les dernières strophes du film sont empreintes d'une profonde tristesse qui lui donne une gravité impressionnante. Le Monde
De par son jusqu'au-boutisme à la fois thématique et cinématographique, "Balada triste" représente une énorme prise de risque (...). En résulte une narration proprement inhabituelle, (...) et le résultat aurait très bien pu larguer le spectateur plus d'une fois si Alex de la Iglesia, animé par une rage assez inouïe et particulièrement viscérale, ne portait pas la symbolique de son oeuvre sur ses seules épaules. Mad Movies
Captivant de bout en bout, le film est tour à tour un pamphlet politique, une histoire d'amour déjantée et un film d'horreur (...) Indispensable. Brazil
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