Perdu dans la foule de Tokyo, un homme a rendez-vous avec Mahiro, sa fille de douze ans qu’il n’a pas vue depuis des années. La rencontre est d’abord froide, mais ils promettent de se retrouver. Ce que Mahiro ne sait pas, c’est que son “ père ” est en réalité un acteur de la société Family Romance, engagé par sa mère.
C’est tout l’intérêt de cet objet ingrat (lumière crue, rendu vidéo) aux vertus fascinantes, trouble reflet d’une société dont les conventions et la retenue s’accordent si bien au simulacre qu’on n’y distingue plus le faux du vrai. Le Nouvel Observateur
"Family Romance, LLC" évoque un Holy Motors totalement dépouillé de ses artifices et de sa machinerie de cinéma : dans ce film diurne, sans éclairage autre que naturel, Herzog opte pour la simplicité et le premier degré propre à ses docus qui l’a conduit si loin dans l’exploration de la santé d’esprit fluctuante des hommes. Libération
[...] une méditation pesamment vertigineuse sur les affres de la solitude et la force perverse du simulacre. Positif
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